Source:
Lettres inédites de Henriette-Marie de France, reine d'Angleterre, edited and published by Charles, comte de Baillon, E. Perrin, Paris, 1884
Above: Henrietta Maria of France, queen consort of England, painted by Sir Anthony van Dyck.
Above: Maria de Medici, queen consort of France, painted by Peter Paul Rubens.
The letter:
Madame,
Ayés pitié d'une pauvre misérable, qui vous demande secours en son affliction. Je n'ay espérance qu'à Dieu et à vous. Songés que je suis vostre fille et la plus affligée qui soit au monde; si vous ne prenés pitié de moy, je suis au désespoir. Vous avés bien pitié des pauvres qui vous demandent l'aumosne, je vous la demande de vostre assistance et je seray jusques à la mort, Madame,
Vostre très-humble et très-obéissante fille et servante,
Je n'ay pas le moyen d'en écrire davantage, l'on m'a ..........
With modernised spelling:
Madame,
Ayez pitié d'une pauvre misérable, qui vous demande secours en son affliction. Je n'ai espérance qu'à Dieu et à vous. Songez que je suis votre fille et la plus affligée qui soit au monde; si vous ne prenez pitié de moi, je suis au désespoir. Vous avez bien pitié des pauvres qui vous demandent l'aumône, je vous la demande de votre assistance et je serai jusques à la mort, Madame,
Votre très-humble et très-obéissante fille et servante,
Je n'ai pas le moyen d'en écrire davantage, l'on m'a ..........
English translation (my own):
Madame,
Have pity on a poor wretch, who asks you for help in her affliction. I have hope only in God and in you. Consider that I am your daughter and the most afflicted in the world; if you don't take pity on me, I am in despair. You have great pity on the poor who ask you for alms, I ask for your assistance and I will be until death, Madame,
Your very humble and very obedient daughter and servant,
I do not have the means to write more, I was ..........
No comments:
Post a Comment